juju 🌞

#ad mission du jour : bronzer, briller, protéger, marcher, manger et se promener! 🌞✨🌻merci @Nuxe pour le glow #NuxeSun

#ad get ready with me… direction la boulangerie 🥖💋💄
parce que qui a dit qu’il fallait une grande occasion pour se sentir belle ?
Un soupçon de Glow Tint, un coup de mascara Twist Up Bond Force, et it’s my time to shine, même pour aller chercher son pain 🤪
Parce que chaque moment du quotidien mérite une touche de glow et d’audace 🤧

@BourjoisParis #Glowtint #Twistupbondforce #Readyfortheshow #BourjoisParis

CONSTANCE PARS

bla-bla avec juju, si vous tombez sur cette vidéo et que vous vous en sentez capable c'est votre moment de vous faire plaisir avec votre repas favoris que vous avez retiré de votre alimentation, et de manger un dessert!!! chaque petit pas compte, chaque repas est une victoire! le compte dont je vous parle dans la vidéo: @lucie ★ je l'aime.

de base on avait dit "on lache prise on fait ce qu'on veut" mais je sais même pas si j'en veux 😭😭😭😭

je suis abasourdi

une journée dans la vie de helena ça donne ça, et j’ai adoré 🤧🫶🏼 
invitation @Sony Music France

"ne gâche pas le sens de ta vie à t’inquiéter pour ton corps c’est ton vaisseau, ta maison, l’endroit où tu vis il n’y a aucune raison de le juger, absolument aucune" c’est fou, mais avant mon voyage en Asie, j’ai traversé une période très sombre. la nourriture avait pris toute la place. ce n’était plus un besoin, c’était une obsession. je voulais à tout prix me sentir bien dans mon corps, croire que la paix viendrait en perdant du poids. alors j’ai contrôlé, évité, compté, jusqu’à me priver de tout, même de joie. je croyais aller mieux simplement parce que je voyais mes vêtements flotter un peu plus. mais au fond, je ne me suis jamais vraiment sentie mieux. j’étais triste, terriblement seule. je me sentais incomprise, mais je n’en parlais pas. je gardais tout pour moi, persuadée que ce mal-être finirait par passer, qu’un jour le miroir me rendrait enfin un reflet que j’aimerais. mais la vérité, c’est que j’ai couru après un corps parfait qui n’existe pas. je n’ai jamais été satisfaite. jamais assez mince. jamais assez jolie. jamais assez… moi. aujourd’hui, je veux que ça change. je veux arrêter de me battre contre moi-même. je veux apprendre à me nourrir normalement, sans peur, sans honte. je veux vivre ma vie sans la gâcher à force de calculs et de comparaisons. je veux me sentir libre, entière, vivante, enfin. je veux m’aimer, non pas quand j’aurai changé, mais maintenant. parce que je le mérite.

c’est fou ce que les TCA peuvent nous faire faire. diaboliser un simple sandwich. le voir comme un ennemi. et pourtant, sous une autre forme, ça passe. comme si le cerveau avait besoin d’un déguisement pour l’autoriser. aujourd’hui, je l’ai mangé. vraiment mangé. sans culpabilité, sans arrière-pensée, sans cette petite voix qui murmure « t’as déconné ». juste moi, mon assiette, et la paix. je suis tellement heureuse d’avoir passé ce cap. j’en rêvais. ça fait des années que je lutte contre moi-même, et là, en deux semaines, j’ai eu ce petit déclic : j’ai plus envie de me pourrir la vie avec la nourriture. j’ai envie de vivre. de respirer. de goûter. je vois déjà les changements. dans ma tête, dans mon corps, dans mon quotidien. je me sens plus légère, plus libre. petite pensée à tous ceux qui traversent ça aussi. je vous aime. je vous comprends. on est fort. on avance ensemble.

et c'est ok j'ai un village à construire moi, mes habitants comptent sur moi.

depuis que j’ai découvert mon EF (endurance fondamentale) je me régale eheh

je vais passer un super week-end

la honte.

blabla avec juju, je vous raconte ce qu’il se passe dans tête ❤️

mais ça me manque trop….

meilleure décision de notre vie.

merci d'avance 🤝🏻

vraiment la reine de la cuisine c'est moi 🤧

la restriction, c’est souvent là que tout commence. pas forcément de façon spectaculaire. parfois, c’est juste “je saute le petit dej”, “je dîne léger”, “je tiens jusqu’à demain”. et au début, ça passe. ça donne une impression de contrôle, de force, même de fierté. mais petit à petit, ça ronge. ça épuise. ça déconnecte du corps. le ventre qui crie, on l’ignore. la tête qui tourne, on s’habitue. les pensées qui tournent en boucle autour de la nourriture, on finit par croire que c’est normal. et puis un jour, le corps craque. la faim déborde. c’est la crise. l’hyperphagie. et avec elle, la honte, la culpabilité, la promesse de “faire mieux demain”… qui veut dire : restreindre encore. et ainsi, le cycle continue. jusqu’au moment où la guérison devient une nécessité. et qu’on recommence à manger “normalement”. sans calcul. sans punition. avec régularité, avec écoute. et là, souvent, le poids revient. parfois vite. parfois plus que ce qu’on attendait. et c’est terrifiant. parce que dans ce monde, on a appris à valoriser la minceur, même si elle vient de la souffrance. mais reprendre du poids, c’est souvent la preuve que le corps se sent enfin en sécurité. qu’il n’a plus besoin de se battre. ce n’est pas une régression. ce n’est pas un échec. c’est le début d’une réparation profonde. la restriction détruit. la liberté nourrit. et il faut un courage immense pour choisir de guérir.

j'ai cette chanson dans la tête à l'aide